Zabou the terrible

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Mot-clé - Evénements cathos

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vendredi, septembre 19 2008

Venue du pape à Paris - II

 

II Traces de lumière. 

 

            Le petit homme vêtu [de probité candide ? et] de lin blanc sortit de la cathédrale pour son très attendu discours aux jeunes. On en retiendra trois notions clés, ou particulièrement deux "trésors", selon le mot du pape :

Esprit Saint,

Mystère de la Croix

Confiance du pape, et donc de l’Eglise, en la jeunesse d'aujourd'hui

(ou comment faire taire les éternels râleurs d'un mot)

Sous le toujours doux regard de Notre-Dame, dont nous tâchions de nous éloigner (mécréants !) pour rejoindre nos amis du groupe EJP,

 Direction donc le cloître de saint Séverin

 

 

 

 Adoration,

Vigilate et orate !

 

  

Et un envoi pour être chemin de lumière dans Paris.

Ces rues que j'ai parcourues tant de fois, de jour comme de nuit, à pied, à vélib', en voiture ou encore sous terre, les parcourir différemment, le regard et le pas rythmés par la prière, le chant et une joie qui se diffusait comme... un feu ?

Lucioles en liberté, pèlerins en quête d'absolu, n'oubliant pas de vivre ces paroles

(malgré leur orchestration lamentable mais, chut, je me tais)

Tu seras lumière au milieu du monde,
Flamme qui rayonne et qui luit
Tu seras lumière au milieu du monde,
Flamme du Seigneur Jésus-Christ

2 - Tu seras la lampe qui chasse les ténèbres
Dieu fera de toi un flambeau dans sa maison
Donne à tout vivant le reflet de sa tendresse
Toi qui as reçu la brûlure du pardon

3 - Tu seras la braise qui veille sous la cendre
Dieu te gardera de mourir à tout jamais
Donne ton secret à qui cherche une espérance,
Toi qui oses croire à l’aurore de la paix

 

mardi, septembre 16 2008

Venue du Pape à Paris - I

 

I Ouverture orante en croix-vé-bâton

            Me frayant difficilement un passage à travers la foule en délire, je parvins à traverser le parvis puis à trouver ma place ASSise. Juste devant un écran géant. Juste devant la cathédrale. Juste devant le lieu de la future allocution du pape aux jeunes. Juste super.

            Après quelques délires en compagnie de mon voisin -hélas connu de moi !- l’heure était venue d’écouter le discours du pape au collège des Bernardins. Si l’attitude générale du parvis sembla être l’ennui, je dois avouer que j’ai pour ma part trouvé ce discours passionnant. Ce n’est peut-être pas surprenant quand je lis les propos de Mgr Dagens

« Dans les paroles du pape, j’ai retrouvé ce que j’ai moi-même appris à la Sorbonne, comme étudiant, sur la tradition monastique, saint Benoît, Grégoire le Grand, saint Augustin… Je me réjouis que ce discours soit en connivence avec ce que l’Etat enseigne et continue d’enseigner sur l’histoire et la littérature chrétienne. »

(in La Croix, éd. du samedi 13 septembre 2008)

            Il est vrai : c’était un discours à caractère universitaire, mais quelle densité, quelle érudition ! Et puis… touchant son discours aussi, à rappeler l’attitude essentielle à mettre au cœur de sa vie de chrétien et pas seulement du moine : le quaerere Deum. En toutes choses. Et les résonances du Logos dans notre parole humaine ! Hum, bref, oui, je l’avoue ce fut mon discours préféré entre tous mais je ne vais pas vous infliger mon lourd enthousiasme de sorbonnarde plus longtemps.

            Foule en liesse : le pape arrivait. Du bruit, des cris, des drapeaux qui s’agitaient. Un peu trop… peut-être ? Ambiance surexcitée curieuse. Mais l’homme en blanc parut, nous bénit sous les hourras joyeux de la foule massée compactement sur le parvis avant de s’engouffrer dans une cathédrale pleine de consacrés pour les Vêpres.

            Prière. Chants superbes. Et une cathédrale qui dorait au fur et à mesure que le soleil baissait, propice à une méditation plus profonde, malgré la foule.

Laudate, laudate, laudate Mariam

            Les évêques et cardinaux sortirent les premiers de la cathédrale et se mirent en une haie d’honneur « discutante » assez plaisante à observer, avant que le pape ne les rejoigne sous les « viva ! » d’une jeunesse apparemment conquise.

 

lundi, septembre 15 2008

Pape à Paris : l'intro

 

            Soyons clair : ce week-end, je ne venais pas pour admirer un homme, ni le pape comme rock star, ce n’est absolument pas mon trip : je ne suis pas papolâtre ou ultrapapofan (d’autant plus que j’avais eu l’occasion de voir Jean-Paul II à Rome en 2003 et Benoît XVI déjà en 2005, à quelques mètres de moi puisque j’étais dans le staff liturgique de la messe finale de Cologne, bref, passons). Ce week-end, je venais écouter ce que le successeur de Pierre, lui le chef d’une multinationale qui a gagné bien des cœurs au fil des siècles et encore aujourd’hui, avait à me dire à moi, jeune catholique de ce temps, prier avec lui et des milliers d’autres chrétiens et vivre avec eux tous un moment de communion aux dimensions qui nous dépassent.

            Le pari fut gagné, je ne pensais pas vivre deux jours aussi extraordinaires quand je partis avec quelques uns des Vallées vendredi : nous  partîmes moins de cinq cents mais, par un prompt renfort, c’est bien plus de trois mille que nous nous vîmes en arrivant à Notre-Dame.

            Et il paraît, daignez agréer mes plus plates excuses pour cette vulgaire expression faisant tâche, que « j’avais du cul », ce que je crois bien volontiers Clin d'oeil

 

vendredi, septembre 12 2008

Programme du week-end

 
Vendredi-samedi :
 
Samedi-dimanche :
 
W-e de rentrée des lycéens de l'AEP à Troyes

 
 

vendredi, août 15 2008

Assomption 2008





Nous te saluons,
Ô toi notre Dame
Marie, Vierge Sainte que drape le soleil
Couronnée d’étoiles, la lune est sous tes pas
En toi nous est donnée
L’aurore du Salut

Belle et sainte fête de l'Assomption à tous mes lecteurs !

Et bonne fête à ma petite soeur ! Sourire

dimanche, juin 29 2008

saint Pierre - saint Paul

Saint Pierre

Saint Pierre, saint Paul, apôtres.

Un lâche et un persécuteur : pourtant deux hommes au service de Dieu.  

Modèles de l’engagement plénier à la suite du Christ, malgré toute leur misère et leur impuissance… qui est aussi nôtre.

Rouge du sang, rouge des témoins étant allés jusqu’au bout, rouge de l’Esprit qui parcourt la terre et les cœurs : c’est ainsi que nous les fêtons aujourd’hui.

  

Modèles pour nous, clairement, et sur de nombreux domaines mais c’est sur celui de l’engagement que notre aumônier choisit de prêcher aujourd’hui et c’est avec attention que j’écoutai l’appel vibrant à s’engager activement au sein de la communauté ecclésiale, lancé à chacun. La moisson est abondante, les ouvriers sont peu nombreux. Je me disais que c’était bien, que c’était nécessaire mais qu’il y avait un manque cruel dans toute cette liste, c’était l’appel à arrêter de jouer aux pompiers.

Non, non et non, ce n’est pas parce qu’ils circulent en rouge : je parle plutôt de ces « pompiers » de l’engagement, de ceux qui éclaboussent les meilleures volontés avec une lance d’incendie, faisant hurler la sirène d’alarme : « mais Dieu n’en demande pas tant ! ». Sans blague. Il y aussi les amateurs de la litanie plaintive -très spécifique- des « Il faudrait », producteurs effrénés de  beaucoup de bruit.

Ces pompiers sentent pourtant l’amateurisme : à côté de leurs mégardes, ils ne tiennent pas compte du vent.

Qui souffle, rallume et ravive sans cesse le feu qui couvait sous la cendre.

 

samedi, juin 28 2008

Entrée dans l'année saint Paul

 
 
 
Ce jour : entrée dans l'année saint Paul :
"Proclame la Parole, interviens à temps et à contretemps !"
 

dimanche, juin 22 2008

Gaudemus !

 
           Samedi 21 juin, fête de la musique. Et c'est une drôle de musique, d'un peuple qui chantait ensemble qui se fit entendre le matin quelque part dans Nanterre, puis dans tout le diocèse, puis dans l'Eglise, mélopée diverse et harmonieuse, résonnant d'un coeur à l'autre et qui ne cessait de s'amplifier.
 
 
21 juin : ordination sacerdotale de Yannick Demey
 
Pour lire l'homélie de Mgr Daucourt, c'est ici !
 

dimanche, juin 8 2008

Par cette onction...

 

Oleum Infirmorum

Ce matin, j’ai vu des gens arriver en costards, l’air un peu engoncé, l’air un peu stressé.

Ce matin, j’ai vu ces mêmes personnes oser une démarcher pleine de confiance et s’avancer, humblement, avec un souvent lourd fardeau.

Ce matin, j’ai vu des larmes. Cachées ou abondantes.

Ce matin, j’ai vu des sourires. Timides. Puis éclatants.

Ce matin, j’ai vu deux prêtres se donner l’un l’autre un sacrement de guérison au milieu de leurs frères.

Ce matin, j’ai vu des visages s’illuminer : et c’était simple, et c’était Beau.

 

samedi, juin 7 2008

Akolouthei moi

 
Ce dimanche, 10ème du TO, l'Evangile nous parle d'un pauv' type, un collecteur d'impôts, le genre de gars bien détesté par toute la populace de Gallilée, infréquentable, lâche, égoïste, fourbe : bref, la totale. 
 
Et puis là, en plein milieu de son travail, hop, Jésus l'appelle et lui suit, direct, se levant sans poser de questions, a contrario des Bien-pensants de l'époque, toujours prompts à la critique assassine de l'homme qui dérange.

Personnellement, ce passage m'a toujours fascinée et, cette année, ce fut de la fascination puissance 10 grâce au grec biblique où j'eus la chance de traduire ce passage dans les trois synoptiques et de m'initier un poil à l'exegèse dessus. Là, ce ne fut pas juste bien : ce fut un choc.
 
AKOLOUTHEI MOI...
Et l'on traduit par "Suis-moi", se focalisant sur la radicalité de la suite du Christ.
C'est vrai.
Mais ce n'est pas complet.
 
AKOLOUTHEI MOI :
Akolouthei est un impératif présent grec, ayant une valeur durative essentielle.
Ce que Jésus nous dit en réalité, ce n'est pas un suis-moi, ouais trop cool, tu viens direct et on s'en fout après de ta life mais bien un "Marche à ma suite". Et là, ce n'est pas un acte à poser qui est demandé mais bien de mettre toute notre vie dans les pas du Christ.
 
 
Sans rien enlever à la radicalité de l'appel, c'est bien une route en son entier que Jésus nous trace là, un chemin de conversion qui l'intéresse bien plus que la bonne petite résolution d'un jour.  
 
Et Matthieu se leva.
 

lundi, mai 12 2008

Joyeux anniversaire... de confirmation !

            Il y a tout juste un an, nous commémorions certes le centenaire de la mort de J-K Huysmans, ce qui est important pour l’étudiante huysmansienne que je suis mais surtout nous célébrions en la cathédrale de Nanterre la confirmation de mon meilleur ami, qui m’avait demandé pour l’occasion d’être sa marraine ! Et ça, ce n’est pas important, c’est carrément essentiel !

Confirmation à Nanterre du 12 mai 2007

            De fait, il y aurait bien des choses à dire sur cette cérémonie, sur ce qui a suivi, sur tout ce qui s’est vécu depuis un an… mais un blog, public par définition, n’est pas le lieu pour dire tout cela. Espace de paroles, il n’est point lieu de déballage.

            En conséquence, mon vieux, prépare-toi à subir une légère missive de vers prosaïques lors de la réception d’un cadeau vert qui te laissera vert : j’ai bonne espérance qu’il ne s’agira pas de rage puisque tu sais combien il est de mon rôle de t’asticoter.

            Pourtant, au retour de nos mises au vert respectives, c’est rouges comme le feu, symbole que tu apprécies, que nous pûmes vivre ensemble ce matin la messe paroissiale, messe, comme une spéciale dédicace ou plutôt comme un clin-dieu, votive du Saint Esprit. Joie de partager ce moment, joie particulière de proclamer la Parole avec toi, à deux voix.

Alors, à toi, mon frère, joyeux anniversaire et continuons notre route, toi et moi, avec l’Esprit Saint !

  

dimanche, mai 11 2008

Flap flap flap

 
           Au loin, le doux bruit du vol d'une colombe. Et puis, plus trop loin. Proche, très proche, tout proche même. Si proche que cela commence à brûler, intensément. Tandis que de pauvres petites voix humaines, si faibles et pourtant si touchantes lancent cette mélodie vers le ciel :
 
Veni Sancte Spiritus

Vitrail de st Pierre de Rome

Viens, Esprit-Saint, en nos coeurs,
et envoie du haut du ciel
un rayon de ta lumière.

Viens en nous, père des pauvres,
viens, dispensateur des dons,
viens, lumière de nos coeurs.

Consolateur souverain,
hôte très doux de nos âmes
adoucissante fraîcheur.

Dans le labeur, le repos,
dans la fièvre, la fraîcheur,
dans les pleurs, le réconfort.

O lumière bienheureuse,
viens remplir jusqu'à l'intime
le coeur de tous tes fidèles.

Sans ta puissance divine,
il n'est rien en aucun homme,
rien qui ne soit perverti.

Lave ce qui est souillé,
baigne ce qui est aride,
guéris ce qui est blessé.

Assouplis ce qui est raide,
réchauffe ce qui est froid,
rends droit ce qui est faussé.

A tous ceux qui ont la foi
et qui en toi se confient
donne tes sept dons sacrés.

Donne mérite et vertu,
donne le salut final
donne la joie éternelle.

Amen.

Là haut !

 
            Jésus leur dit de nouveau : « La paix soit avec vous !
De même que le Père m'a envoyé, moi aussi, je vous envoie. »
 
Ayant ainsi parlé, il répandit sur eux son souffle et il leur dit : « Recevez l'Esprit Saint. »
 

Bonne et sainte fête de la Pentecôte à tous !

Sourire

 

dimanche, avril 13 2008

+ Dimanche des vocations

 
Mettre la tenue de service
 
Seigneur, tu nous appelles
et tu nous conduis là où nous ne penserions pas aller.
Tu nous appelles par notre nom,
ce nom unique, connu de toi seul.
Tu nous appelles à devenir messagers de ta Bonne Nouvelle.
Nous te disons merci de pouvoir l'annoncer
par notre vie, nos paroles et nos actes.
Que ton Esprit Saint nous donne la force
de répondre"oui" à ton appel
aujourd'hui et chaque jour. Amen.
 
(SNV - BELGIQUE)
 
 
Passer la tenue de service,
Celle qui est la sienne propre, chaque matin,
Avec le sourire rayonnant qui lui est intimement lié.
 

vendredi, avril 11 2008

Un nouvel évêque auxiliaire à Nanterre

 
Père Nicolas Brouwet
 
Le père Nicolas Brouwet a été nommé ce jour évêque auxiliaire du diocèse de Nanterre !
 
Prions pour sa nouvelle mission au service de notre diocèse bien-aimé Sourire
 
 

samedi, avril 5 2008

Roma 2008

 
Le Colisée
 
Ou pourquoi Zabou semble parfois submergée par une masse de papiers ! Clin d'oeil

vendredi, avril 4 2008

C'est la teuf !

 
         Mais carrément c'est la teuf le 4 avril ! N'me dites-pas que vous ignorez pourquoi tout de même !
 
St Isidore de Séville, ça ne vous dit rien ?
 
Et pourtant, si vous arrivez jusqu'ici, vous devriez le connaître puisqu'il est votre... saint patron !
 
Isidore de Séville
 
Un court extrait de sa biographie, pris sur Nominis :
 
" Isidore se nourrit, se gave, des livres dont regorge la bibliothèque fraternelle.
En 599, à la mort de Léandre, Isidore lui succède comme évêque de Séville.
Il présidera des conciles et travaillera à la conversion des Goths à la vraie foi. Son "Histoire des Goths" nous est très utile car, sans elle, nous ne saurions presque rien des Goths et des Vandales.
Tout en gouvernant avec un grand dévouement son diocèse, il écrit sans relâche. Toutes les richesses de la culture classique qui ont enchanté sa jeunesse, il les sent menacées par les invasions barbares. Or ce sont des trésors qui peuvent être utiles pour une meilleure compréhension des Ecritures.
Il rédige donc de très nombreux ouvrages, dont le plus connu les Etymologies (de l'origine des choses) est une encyclopédie qui transmettra aux siècles suivants l'essentiel de la culture antique. C'est à lui, avant les Arabes, que l'Occident doit sa connaissance d'Aristote. Ce sera une des bases des études en Occident jusqu'à l'époque de la Renaissance.
Il occupera le siège épiscopal de Séville durant quarante ans, y fonda de grands collèges et influença les conseils royaux.
Il meurt dans sa cathédrale, étendu sur le sol, tout en continuant de parler à l'assistance."
 
Alors, saint Patron de l'internet, des internautes... et des bloggueurs (parfois si bavards que vous), ora pro nobis !
 
 

mercredi, avril 2 2008

In memoriam (+2 avril 2005)

 
Jean-Paul II
 

mardi, mars 25 2008

Eblouie... Etonnée...

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Que de lumière(s) en ces saints jours festifs ! J'en demeure toute éblouie...
Et étonnée à la façon des femmes et des apôtres au tombeau : "bah mince alors, v'là t'y pas qu'on nous l'a volé notre rabbi ! Y a la pierre qui a été ôtée ! Qui est assez costaud pour faire cela ?"

Mais voilà, en fait, il y a plus étonnant que le rapt...
IL EST RESSUSCITE !


Et, avec tout cela, 3 p'tits mots pas bien longs à la profondeur incommensurable j'avais oublié de vous souhaiter l'essentiel :

JOYEUSES FETES PASCALES A TOUS !
(eh oui, au pluriel : il y en a pour 50 jours... au moins ! Clin d'oeil)


samedi, mars 22 2008

Dans la nuit de Pâques

 
 
Dans la nuit, on entend un chant s'élever au loin, apportant la lumineuse clarté du jour :
 
ALLELUIA !
 
 

Chut, on veille, on prie...

 
Samedi Saint
 
Silence !
 
"Depuis toujours la Bible suggère ces moments d'apparente vacuité dans la vie d'hommes ou de femmes de Dieu qui sont en fait des temps d'intense activité. Cette activité se fait au dedans de la chair dans laquelle Dieu fait son chemin et s'installe pour la renouveler. "
(Fr. Philippe Lefebvre, in "Retraite dans la ville")
 
Chuuuut,
 
Ecoute, écoute
Surtout ne fais pas de bruit
On marche sur la route
On marche dans la nuit
 
Ecoute, écoute
Les pas du Seigneur vers toi.
Il marche sur ta route
Il marche près de toi.
 
Alors,
Ecoute,
incline l'oreille de ton coeur.
 
Pour que cette Nuit soit lumière,
Rayonnante en toi.
 

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